St Valentin…
Les maîtres du monde gouvernent la planète en loucedé…
Vous voulez une preuve ?
Ben tiens, mordez moi ça : les biftons des amerloques :
Mais ça mes cadets c’est encore que de la gnognotte… du pipi de chat…
Non c’est plus pire que ce que vous croiftez :
De Gaulle était déjà dans la Vache qui rit !!!
Ah… vous faites moins les malins maintenant… Deux étoiles, général de brigade, une coïncidence peut être ?… Ah ça vous la coupe !
Musee des Confluences, COOP HIMMELB(L)AU from Spirit of Space on Vimeo.
Hommage à David Bowie … La dernière fois que nos routes s’étaient croisées c’était un 25 mai 1978 au palais des sports de Lyon …
Et sinon ma version préférée de Space Oddity c’est celle de Chris Hatdield spationaute canadien, le père d’un copain de ma fille Charlotte avec qui j’avais bien discuté à Rio lors du mariage de celle ci. Oui le fils pas le père, j’avais discuté avec le fils pas le père et c’est pas avec le fils que Charlotte s’est mariée oh mais c’est pourtant simple à comprendre…
Bon écoutez plutôt le père (pas le fils) qui interprète Space oddity dans l’espace… Moi ça me branche grave…
Très calme l’activité sur l’Os ces derniers mois…mais qui de fait, reflète une activité nautique également réduite…
Plus de vélo moins de bato ces derniers mois… Voilà c’est tout simple !
Seulement le feu couve toujours sous la cendre….
Des bateaux j’en ai eu beaucoup, trop peut être…
Nous en étions à la série des kayaks pliables gonflables mais toujours à voile ! Faut pas déconner la pagaie, la rame c’est bon pour pour les galériens mais je l’ai déjà dit, je suis connu dans mon quartier alors la chiourne, non quand même faut pas pousser mémère dans les orties….
Un voilier c’est super mais un gros voilier c’est beaucoup de contraintes pour pas grand chose… Voyager ? Ouais bof … Traversées ? pour s’emmerder y a pas mieux. Beaucoup de soucis, beaucoup de tracas, beaucoup beaucoup de sous…
Non définitivement … small is beautiful !
Mais quand même une dimension, un paramètre : la flotte, le groupe, les potes …
Les Aspro !
Mal de de courge ? meuh non ! Les associations de propriétaires ! Se retrouver avec des potes, comparer les bateaux, échanger, se tirer la bourre et puis se marrer, rigoler … Vive les rassemblements !
Avec mes Fireball, Maraudeur, Blue Djinn les rassemblements ont toujours été des moments de convivialité et l’occasion de superbes navigations.
Alors …
Alors résumons l’équation idéale :
petit – bon marché (enfin …) – beau (un bateau se doit d’être beau) – convivial ….
J’ajouterais un mariage de la carpe et du lapin : traditionnel et high tech…
Merde alors…
Alors voilà : le bateau idéal… ou s’en rapprochant serait, sera (hé hé) un canot voile aviron en cousu collé…
Et pourquoi pas monter le gréement du Klepper sur le Nomad ???
J’avais déjà fait un essai avec le Yakkair, plutôt un concept. Rien n’était en fait fixé et fonctionnel.
Avec le Nomad i’affaire semble plus réalisable…. Juste quelques coups de scie pour réaliser un semblant de plancher/pied de mât… Et cette fois le gréement est à peu près correctement fixé et arrimé.
Pourtant je n’irai pas plus loin …
Et ceci pour plusieurs raisons : tout d’abord pour naviguer correctement à la voile il faut un minimum de raideur dans le gréement. Ensuite la mise en oeuvre d’un tel canote suppose un montage fastidieux mât, dérives, gréement dormant et courant, safran etc.. autrement on perd tout l’intérêt du Nomad simple vite gonflé, à l’eau tout de suite… Alors gardons la simplicité, contentons nous de la voile flip flap pour le portant et basta !!!
Ah non stop … ouh là, ça va trop vite…
Bon voilà que ce pauvre Cecil, un bon gros con de lion du Zimbabwe vient de se faire dessouder par un gros cave de dentiste américain. Un bon gros con de lion qui boulottait à longueur de journée d’adorables bébés antilopes que lui ramenaient ses gueuses de lionnes pour se faire bien voir du brave Cécil.
Bon notre misérable dentiste prétend s’être fait couillonner par des arsouilles en Range Rover qui lui auraient refourgué du lion de basse qualité, refusé chez Pinder et Médrano. Manque de bol l’as de la roulette a rectifié la star des lions, ce pauvre Cecil qui avait le portrait de Clarence épinglé dans sa tanière (c’est quoi au fait la piaule d’un lion, une tanière, une bauge ?… Un loft ?) allez savoir avec ces lions stars du show bizz….
Toujours est-il que le mal est fait. N’empêche que les gazelles respirent un peu mieux. Sauf on s’en fout bien pas mal des gazelles, des gnous et autres misérables quadrupèdes que croquent ces salopards de lions de mes deux à longueur de journée sur Disney Chanel.
Non mais si je dis que ça va trop vite c’est que dans le même temps voilà que deux lascars gratteurs farfouilleurs viennent de trouver une dent.
Bon me direz-vous une dent, la belle affaire…
Oui mais sauf que la quenotte en question a été perdue par un vieux pépère qui créchait en des temps pas léothique mais presque du côté de Tautavel il y a quelques 550 000 ans…
Alors pensez donc une dent, un dentiste, un lion ça fait pas mal de tintouin sur la toile mais bon tout ceci est bien éphémère et fait passer le temps avant de reparler des choses sérieuses du chômage, de daesh et de la parution du dernier 30 et quelques nuances de Grey…
» Qu’ai-je donc fait ? J’ai aimé l’eau, la lumière, le soleil, les matins d’été, les ports, la douceur du soir dans les collines et une foule de détails sans le moindre intérêt comme cet olivier très rond dont je me souviens encore dans la baie de Fethiye ou un escalier bleu et blanc flanqué de deux fontaines dans un village des Pouilles dont j’ai oublié le nom. Je ne regrette ni d’être venu ni de devoir repartir vers quelque chose d’inconnu dont personne, grâce à Dieu, n’a jamais pu rien savoir. J’ai trouvé la vie très belle et assez longue à mon goût. J’ai eu de la chance. Merci. J’ai commis des fautes et des erreurs. Pardon. Pensez à moi de temps en temps. Saluez le monde pour moi quand je ne serai plus là. C’est une drôle de machine à faire verser des larmes de sang et à rendre fou de bonheur. Je me retourne encore une fois sur ce temps perdu et gagné et je me dis, je me trompe peut-être, qu’il m’a donné – comme ça, pour rien, avec beaucoup de grâce et de bonne volonté – ce qu’il y a eu de meilleur de toute éternité : la vie d’un homme parmi les autres. » Jean d’Ormesson