Votre impression sur le kayak ?
Ben, dame, avec une imprimante 3D … ça l’fait !!!!
Ben, dame, avec une imprimante 3D … ça l’fait !!!!
Hier au Canopé de Clermont-Ferrand : Journée des ressources numériques et des actions pédagogiques.
Eric Bruillard, un des acteurs majeurs du MOOC : « Enseigner et former avec le numérique » ouvrait la journée avec une intervention via Skype.
vu sur Guide voyage.org
Voici le complément des informations concernant la possibilité de bivouaquer au bord de la Loire dans le PNR Anjou Touraine .
Où l’on verra que la situation n’est pas désespérée et que décidément, non, la France n’est pas le pays de « l’interdit ». Les sternes et les kayakistes bivouaqueurs peuvent très bien cohabiter pour peu que l’on respecte certaines règles !
Bonjour Monsieur,
Je vous prie d’excuser ma réponse excessivement tardive à votre question. J’espère qu’il est encore temps d’y répondre.
La question du bivouac en Loire est effectivement complexe. Au sein du PNR Loire Anjou Touraine, il faut bien distinguer entre les secteurs avec une réglementation particulière et les autres, soumis à la réglementation générale.
1° Dans le cas de la réglementation générale, en Loire comme ailleurs, le camping peut être librement pratiqué, avec l’accord de celui qui a la jouissance du sol (donc sous réserve de l’opposition du propriétaire), sauf :
– Sur les routes et voies publiques
– sur les rivages de la mer ;
– dans les sites inscrits et dans les sites classés;
– dans le champ de visibilité des monuments historiques (attention à ne pas camper au pied d’un des châteaux de la Loire…) ;
– dans un rayon de 200 mètres autour des captages d’eau.
Enfin, il faut savoir que des arrêtés municipaux plus restrictifs peuvent s’appliquer dans certaines communes. Lorsque c’est le cas, il doit y avoir un affichage spécifique qui le précise.
Pour la question de la propriété du terrain, dans le cas de la Loire : les bancs de sable font partie du domaine public fluvial, donc sont accessibles à tous (sauf dans les zones particulières, voire au 2°). En revanche, les îles permanentes (hors d’eau l’hiver et qui sont boisées, cultivées, ou en prairies, voire bâties) sont le plus souvent des propriétés privées.
2° Pour ce qui est des zones particulières :
Dans certains secteurs fragiles, afin de protéger des espèces d’oiseaux menacées (Sterne pierregarin, Sterne naine, Mouette mélanocéphale, …) qui nichent à même le sable, l’accès aux îlots et bancs de sable est interdit, par un arrêté préfectoral de protection de biotope. L’accès y étant interdit, le bivouac y est donc interdit aussi, de même que tout activité pouvant déranger les oiseaux.
Au sein du PNR, sont concernés, du 1Er avril au 15 août de chaque année , les îlots de sables (= bancs de sable au milieu de la Loire, qu’on ne peut pas atteindre à pied sec depuis la berge) situés dans les secteurs suivants :
– la Loire entre Montsoreau et Saumur : depuis le lieu-dit « le port de Montsoreau » jusqu’à l’Ile d’Offard, à Saumur (stade de foot)
– la Loire entre Le Thoureil et la Daguenière : du Thoureil(rive gauche, face au bourg) et La Ménitré (rive droite) jusqu’à Juigné-sur-Loire et La Daguenière (à l’aval de Belle Île)
Je joins une carte qui situe ces deux secteurs, au sein desquels l’accès aux îlots de sables est interdit pendant la période estivale.
En revanche, dans ces secteurs, le bivouac sur les grèves attenantes à la berge ( autrement dit les « plages » qui sont accessibles à pied sec depuis la rive) reste permis, de même que sur les plages qui entourent les îles permanentes (en respectant la partie privée de l’île).
Enfin, sachez que, lorsque c’est possible, la LPO Anjou met en place des panneaux d’information pour signaler les zones accueillant des colonies importantes d’oiseaux protégés. Soyez particulièrement vigilants à ne pas traverser des zones qui seraient délimitées par de tels panneaux. Pour votre information, je joins également, 2 documents d’information présentant les espèces protégées, visées par ces mesures de protection.
Hors des limites du PNR, pour plus d’informations sur les interdictions en région Centre (hors PNR), vous pouvez consulter les arrêtés de protection de biotope existants ici : http://www.centre.developpement-durable.gouv.fr/les-arretes-de-protection-de-a1390.html ou vous renseigner auprès du Conservatoire des Espaces naturels de la Région Centre.
Je vous remercie pour les exemples de prestations touristiques que vous nous avez envoyés. Le Parc naturel régional n’est pas responsable de la communication réalisée par les professionnels du tourisme, ni de la qualité des prestations qu’ils proposent et vendent. Nous travaillons, avec la LPO Anjou, à l’information et à la sensibilisation des professionnels du tourisme, afin qu’ils ne proposent pas leurs prestations de bivouac dans les secteurs sensibles. Nous espérons que les professionnels sensibilisés informent leurs clients de l’existence de ces secteurs, et des « règles de bonne conduite » qu’il convient d’y respecter, pour préserver le patrimoine naturel de la Loire. Nous ne savons pas s’ils le font tous, systématiquement, mais nous savons que certains s’efforcent de le faire.
Espérant avoir pu répondre à vos interrogations, mes collègues et moi-même restons à votre disposition pour plus d’informations. N’hésitez pas à revenir vers nous si ma réponse n’est pas suffisamment claire.
Vous souhaitant un bon séjour en Loire-Anjou-Touraine,
Cordialement,
Lucile Stanicka
Chargée de mission Natura 2000
Vallée de la Loire des Ponts-de-Cé à Montsoreau – Vallée du Thouet
Ligne directe : 02 41 53 05 08
Parc Naturel Régional Loire Anjou Touraine
7 Rue Jehanne d’Arc, 49730 MONTSOREAU
Tél : 02 41 53 66 00 – Fax : 02 41 53 66 09
www.parc-loire-anjou-touraine.fr
Il est balaise l’ami Todd !
C’est lui qui m’a inspiré pour le vélo kayak, on ne se connait pas (encore), juste des échanges par mail. Mais chez lui c’est plutôt tonique, j’aurais du mal à suivre ! Il faut dire que je trimballe un peu plus de matos… c’est qu’il lui faut son petit confort à Pépère !!!
Histoire de tester le matériel …
Petite balade : vélo de St Michel à Serrière (20 km) – Marie me rejoint en voiture et prend son vélo pour la suite : Serrières Saint Vallier en kayak (15 km) retour en vélo jusqu’à Serrières. (la fin en voiture)
La semaine 0 avait été juste là pour donner quelques indications, effectuer des présentations et proposer des tutoriels… Il se trouve que j’ai la détestable habitude de ne jamais lire les modes d’emploi ou les notices, préférant me ruer sur l’objet pour en explorer les facettes et le maniement avant de revenir éventuellement sur le tard sur la dite notice Ceci pour dire que je n’avais jeté qu’un regard distrait sur le contenu de cette semaine 0…
Coup de trompette lundi 5 mai, un mail vient me rappeler que je suis inscrit sur le MOOC et que les choses sérieuses commencent !
Cette fois le menu est alléchant ! Nous commençons par aborder une partie introduction et historique.
Un onglet « cours » propose une série de vidéos d’interventions magistrales. Assez courtes, dynamiques elles sont accompagnées de documents, relativement succincts qui en prolongent le contenu.
En une demi heure à peine, le tout est visionné, les documents lus.
Nous balayons dans une évocation historiques les outils au service de la pédagogie des tablettes de cire des grecs au nano réseau des années 85. Ceci me replonge avec un brin de nostalgie cette dernière époque…
En 85 j’étais directeur de l’Ecole Française de Sofia en Bulgarie. A l’occasion d’une conférence générale de l’UNESCO qui se tenait à Sofia, un Nano réseau avait été présenté… Nous l’avions vu de loin… ce n’était pas pour nous, misérable petite École Française où je voyais en une seule réception diplomatique défiler tout le budget annuel de mon école ! J’avais déjà raconté quelque part comment j’avais construit une bibliothèque pour les classes maternelles avec des cartons de pinard de l’Ambassadeur…
Mais assez fait pleure Margot,revenons au MOOC…
Sitôt les cours passés en revue je me plonge dans la partie « activités » composée de QCM.
Ah je n’avais pas tâté de QCM depuis l’épreuve du code de mon permis de conduire et le concours de PCEM1 (médecine) et ses fameux QCM de chimie (ah la fourbe molécule de cholestérol présentée à l’envers…) Bon au final si j’ai péniblement décroché mon permis je ne suis pas devenu médecin. Ceci pour dire que les QCM, j’aurais plutôt tendance à les regarder de travers …
Bien évidemment les cours ne suffisent pas pour apporter les réponses… Première stratégie à deux balles : un copié/collé de tout ou partie de l’énoncé dans l’ami GOOGLE… pas vraiment convaincant : mince alors ! Il va falloir affiner les recherches et bosser !!!
Au passage une idée tordue me traverse l’esprit : qu’est ce qui m’empêcherait de créer un deuxième profil, un « martyr », pour trouver les réponses qui sont données après trois essais ??? Nous ne sommes pas dans une formation diplômante mais si c’était le cas, comment garantir la sincérité des réponses ?
Troisième phase je me plonge dans des lectures complémentaires soit à partir de mes propres recherches sur le web soit en creusant la partie « pour aller plus loin ». Je pense que je vais trop vite et à dire vrai le résultat de mes tests n’est pas fameux !
Pour l’instant je n’ai pas fait appel à mes pairs, pourtant on nous affirme que c’est un des piliers du MOOC…
Malgré tout je passe en revue les forums, en commençant par les présentations. Je reconnais quelques noms au passage, sans échanger pour l’instant. Je me fends aussi de ma petite bafouille en deux mots…
Déjà je constate avec amusement que des groupes semblent se constituer avec un instinct grégaire très sur !
C’est donc en moins de deux heures que j’ai passé en revue cette première semaine… Je ne pense pas en avoir retiré la substantifique moelle ! Certes j’ai rafraichi quelques connaissances, lu des textes mais tout ceci demeure encore en friche. Des pistes se sont ouvertes que je vais devoir creuser nous ne sommes que mercredi… la semaine n’est pas terminée
Emmanuel Davidenkoff nous annonce un tsunami numérique qui va déferler sur l’école …
« Un tsunami s’apprête à déferler sur nos écoles, nos universités, nos grandes écoles. Du nord au sud de la Silicon Valley californienne, l’écosystème qui a converti en quelques décennies des milliards d’êtres humains au smartphone et à Internet a mis toute sa puissance de travail et d’innovation au service d’un objectif : réinventer l’éducation. »
Parents, enseignants, élèves, étudiants, nous sommes tous concernés. Le numérique, qu’on le veuille ou non, va bouleverser le système éducatif français, dont Emmanuel Davidenkoff dénonce au passage l’élitisme et la rigidité. Suivi personnalisé des élèves à l’école primaire, correction des copies par ordinateur, cours magistraux consultables sur Internet (MOOC), tableaux blancs interactifs, formation continue des professeurs… Si l’on veille à ne pas en laisser le monopole aux Américains, cette véritable révolution sera extrêmement bénéfi que : elle offrira une meilleure égalité des chances et une formation davantage tournée vers l’accès à l’emploi.
Mais sommes-nous prêts ?
Dans ce Tsunami annoncé, les MOOCs ou CLOM … selon que l’on emploie la langue du chat qui expire où celle de Monsieur Poquelin semblentt bien constituer un élément majeur…
Cous en Ligne Ouvert et Massif CLOM MOOC … Ques acquo ???
Formations ouvertes à tous, en principe gratuites, produites par des institutions solides voire prestigieuses, elles se répandent de plus en plus, diversifiant et démocratisant l’offre de formation sur tous les continents.
La fièvre des MOOC semble s’être emparé de Afrique.
Des collectifs s’élèvent pourtant pour dénoncer, selon eux, ce qui semble être une étape vers la privatisation des cours et la marchandisation du savoir. Alors MOOC arme de destruction massive comme le proclame Pascal Engel ?
Histoire de me faire une petite idée sur la question et pour voir si l’Ecole à encore un avenir, je décide donc d’aller voir les choses de l’intérieur en m’inscrivant à un MOOC.
Cela tombe bien le MOOC de l’ENS Cachan et l’ ENS Lyon: « Enseigner et former avec le numérique » vient d’ouvrir…
FUN-MOOC : Enseigner et former avec le numérique par fr-universite-numerique
Alors c’est parti !
Ma première idée c’était la Loire dans le secteur Tours Angers pour combiner navigation et pistes cyclables de la « Loire en vélo ».
En navigation pas de problème je pourrais même encore charger la barque.
La difficulté c’est plutôt la partie vélo où il ne me faut pas trop de côtes avec mon attelage ! Sur le plat pas de souci ça roule très bien par contre dès que la pente s’élève, les choses se compliquent !
Bon je vais alléger le matériel mais pas question de rogner sur le confort !
Ensuite soit je laisse ma voiture dans un camping et je descends sur plusieurs jours d’une traite puis retour en vélo. Donc bivouacs et/ou campings au bord du fleuve. Ou bien navigation et vélo en alternance pour pouvoir gagner un camping tous les soirs (en ayant ainsi la possibilité de m’éloigner de la rivière.
Évidemment avec un camping tous les soirs on résout le problème du ravitaillement et de l’eau à trimbaler : plus besoin de grosses réserves.
Entre Nevers et Orléans j’ai déjà navigué deux fois donc peut être attaquer la descente plus en amont par exemple en mettant à l’eau à Pouilly sous Charlieu en dessous de Roanne direction Digoin et plus… Pas de parc donc plus facile pour les bivouacs …
Après bien sûr on peut penser à une autre rivière ou fleuve… Pourquoi pas le Rhône ? Mais beaucoup de portages et les coins de bivouac ne sont pas évidents…
Bon on va continuer à gamberger …
Il y a une chose qui m’énerve un peu c’est de devoir trimbaler de l’eau douce alors qu’il y en a plein sous le kayak !
On pourra rétorquer que navigant sur la Loire la civilisation est proche et que l’on peut ravitailler facilement chez l’autochtone !
N’empêche qu’un filtre de style Kadadyn me fait envie !
Bon pour une rando de quelques jours c’est surement un peu excessif ! Mais bon, pour l’instant j’ai juste le nez collé à la vitrine !
En fait cela me rappelle mes années en Afrique de l’Est. L’eau bien sur n’était pas potable, le cuistot faisait d’abord bouillir la flotte puis celle ci passait dans un filtre à bougies, une grosse marmite émaillée. Ça mettait des plombes à passer mais au bout du compte on avait une eau potable…